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- BalbereithStaffeux retraité
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Projet Athéna
Mer 24 Aoû 2011 - 22:19
Toute cette arrivé de scénario, et le fait d'avoir déterrer un vieux topic, il y a peu, m'a donné envie de vous faire partager, ce scénario, que j'essaie de rédiger un peu comme un livre, car si je le continue, j'en ferai une petit nouvelle.
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Le soleil se couchait sur la planète appelée Athéna, ce soleil était nommé Solaris. Cette étoile et cette planète étaient encore inconnue il y a peu. Mais très loin de là, dans des lieux qui nous sont plus familiés, l'humanité est au bord de l'extinction... Le soleil, notre bon vieux soleil, va bientôt tirer sa révérence dans une gigantesque supernova, engloutissant la planète bleue, pauvre petite planète dans un océan stellaire, dans un torrent d'énergie colossale, la réduisant ainsi en poussière, elle et tout ceux qui la chérissent. Il reste vingt ans tout au plus, avant le moment fatidique.
L'humanité n'a plus évolué génétiquement depuis la préhistoire et très peu technologiquement depuis maintenant des millénaires, seul les domaines de l'énergie et quantique ont évoluée de puis fort longtemps. Lors de l’expansion du Soleil, les hommes ont levé de puissantes barrières contre les radiations solaires, protégeant du mieux possible la surface terrestre, évitant que la Terre ne deviennent qu'une simple boule de magma. La Terre n'était maintenant que terre aride, invivable, malgré les barrières, la température au sol atteignait les 500°C. L'humanité s'était enterré il y a de cela des siècles pour survivre aux fortes chaleurs et aux radiations. Cachés dans les tunnels, les hommes n'avaient plus de structures sociales et juridiques, ils vivaient en sauvages, ou dans des zones contrôlées par ce qui fut un jour nommé entreprise. Il y avait deux types d'hommes, en effet. Ceux qui survivaient dans des tunnels de connexion inter-zones, vivant comme des rapaces, pillant tout ce qui passaient à leurs portée. Et les hommes qui pouvaient jouir d'un semblant de civilisation, parquées dans les zones. Des « firmes » contrôlaient les zones, pourvoyant aux besoins de leurs populations, il est bien évident, que les compagnies milliaires avaient la suprématie, jouant aux gendarmes dans des zones qui ressemblaient plus au far west d'une époque depuis longtemps révolue, la loi du plus fort, voilà la chose qui restait à l'homme, cette loi bestiale dicté par la survie... Même si maintenant tout ressemblait à du désespoir.
Mais une chose pouvait sauver l'humanité, un infime espoir, l'interaction du bouclier et du soleil, dans un imposant bras de fer désespéré entre un veille homme et un être agonisant, créait un phénomène physique pourtant longtemps considéré impossible : les failles. Des failles apparaissaient puis disparaissaient, le CPQP (Centre physico-quantique de Paris), enfin de la zone qui ce tiend sous l'emplacement où était la ville de Paris, réussit à maintenir une des ses failles, et comme par miracle, celle-ci donnait sur une autre planète. Ils y envoyèrent une petit robot, de peur du résultat si un homme le traversaient. Les résultats furent concluant, cette planète était habitable, la vie tel que l'homme la connaissaient pouvait si implanter, car même les terres découvertes soient recouverte de neige et de glace, les mesures faites étaient irréfutables, la faille se trouvaient prêt du pôle nord de la planète, et la constitution atmosphérique prouvaient qu'ils y avaient des zones tempérées et chaudes. La question du nom ne se posa que le lendemain, comment allaient-ils nommé cette planète ? Leur dernière espoir de survie ? Une jeune scientifique vennait d'avoir un enfant, une petite fille. Les autres regardèrent la jeune mère :
« Comment s'appelle-t-elle ?
- Athéna. Le jeune mère l'avaient dit en souriant et en regardant le landau dans un coin du laboratoire.
- Alors la planète s'appellera Athéna, comme nos enfants, elle est notre dernier espoir. Ce sera le symbole de notre survie... Nous le pouvons, nous le devons ! »
Les scientifiques poussèrent de vivats, trop excités pour penser à quoique soit, la joie les dominaient, et l'enfant jusque là oublier devins le centre de ce petit groupe joyeux. Ils recommençaient à vivre, l'espoir était revenue. Le chef de laboratoire envoya un message au directeur d'une firme alliée. Le message était bref, la réponse ne se fit pas attendre.
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Voilà voilà, j'espère que le début vous plaira.
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Prologue, la naissance du dernier espoir.
Le soleil se couchait sur la planète appelée Athéna, ce soleil était nommé Solaris. Cette étoile et cette planète étaient encore inconnue il y a peu. Mais très loin de là, dans des lieux qui nous sont plus familiés, l'humanité est au bord de l'extinction... Le soleil, notre bon vieux soleil, va bientôt tirer sa révérence dans une gigantesque supernova, engloutissant la planète bleue, pauvre petite planète dans un océan stellaire, dans un torrent d'énergie colossale, la réduisant ainsi en poussière, elle et tout ceux qui la chérissent. Il reste vingt ans tout au plus, avant le moment fatidique.
L'humanité n'a plus évolué génétiquement depuis la préhistoire et très peu technologiquement depuis maintenant des millénaires, seul les domaines de l'énergie et quantique ont évoluée de puis fort longtemps. Lors de l’expansion du Soleil, les hommes ont levé de puissantes barrières contre les radiations solaires, protégeant du mieux possible la surface terrestre, évitant que la Terre ne deviennent qu'une simple boule de magma. La Terre n'était maintenant que terre aride, invivable, malgré les barrières, la température au sol atteignait les 500°C. L'humanité s'était enterré il y a de cela des siècles pour survivre aux fortes chaleurs et aux radiations. Cachés dans les tunnels, les hommes n'avaient plus de structures sociales et juridiques, ils vivaient en sauvages, ou dans des zones contrôlées par ce qui fut un jour nommé entreprise. Il y avait deux types d'hommes, en effet. Ceux qui survivaient dans des tunnels de connexion inter-zones, vivant comme des rapaces, pillant tout ce qui passaient à leurs portée. Et les hommes qui pouvaient jouir d'un semblant de civilisation, parquées dans les zones. Des « firmes » contrôlaient les zones, pourvoyant aux besoins de leurs populations, il est bien évident, que les compagnies milliaires avaient la suprématie, jouant aux gendarmes dans des zones qui ressemblaient plus au far west d'une époque depuis longtemps révolue, la loi du plus fort, voilà la chose qui restait à l'homme, cette loi bestiale dicté par la survie... Même si maintenant tout ressemblait à du désespoir.
Mais une chose pouvait sauver l'humanité, un infime espoir, l'interaction du bouclier et du soleil, dans un imposant bras de fer désespéré entre un veille homme et un être agonisant, créait un phénomène physique pourtant longtemps considéré impossible : les failles. Des failles apparaissaient puis disparaissaient, le CPQP (Centre physico-quantique de Paris), enfin de la zone qui ce tiend sous l'emplacement où était la ville de Paris, réussit à maintenir une des ses failles, et comme par miracle, celle-ci donnait sur une autre planète. Ils y envoyèrent une petit robot, de peur du résultat si un homme le traversaient. Les résultats furent concluant, cette planète était habitable, la vie tel que l'homme la connaissaient pouvait si implanter, car même les terres découvertes soient recouverte de neige et de glace, les mesures faites étaient irréfutables, la faille se trouvaient prêt du pôle nord de la planète, et la constitution atmosphérique prouvaient qu'ils y avaient des zones tempérées et chaudes. La question du nom ne se posa que le lendemain, comment allaient-ils nommé cette planète ? Leur dernière espoir de survie ? Une jeune scientifique vennait d'avoir un enfant, une petite fille. Les autres regardèrent la jeune mère :
« Comment s'appelle-t-elle ?
- Athéna. Le jeune mère l'avaient dit en souriant et en regardant le landau dans un coin du laboratoire.
- Alors la planète s'appellera Athéna, comme nos enfants, elle est notre dernier espoir. Ce sera le symbole de notre survie... Nous le pouvons, nous le devons ! »
Les scientifiques poussèrent de vivats, trop excités pour penser à quoique soit, la joie les dominaient, et l'enfant jusque là oublier devins le centre de ce petit groupe joyeux. Ils recommençaient à vivre, l'espoir était revenue. Le chef de laboratoire envoya un message au directeur d'une firme alliée. Le message était bref, la réponse ne se fit pas attendre.
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Voilà voilà, j'espère que le début vous plaira.
Re: Projet Athéna
Mer 24 Aoû 2011 - 23:19
Salut,
Tu as critiqué mon texte, je vais donc à mon tour le critiquer
Alors déjà, j'aime l'époque. Quand je dis époque, je ne parle pas de l'avancée technologique des humains, mais l'époque où le soleil nous détruira. Bon le coup du soleil en pleine évolution et les humains qui survie dans des tunnels est cliché Mais ! Le coup des deux camps humains, l'un la vraie nature de l'homme, l'autre les hommes en communauté rend le réalisme plus présent, même si on se demande comment ils ont fait pour creuser sous une température de 500°C. Le nom de la planète, Athéna, nommé parce qu'une mère appelle son bébé du même nom est un peu bizarre ^^. J'ai compris la façon dans lequel la planète va avoir un nom mais je trouve que le passage est trop rapide, on dirait qu'ils ne réfléchissent même pas, un peu dans ce style là :
"Comment s'appelle-t-elle ?
- Boudin.
- Ouais !Allez, je suis partant pour Boudin !"
Voilà c'est ma première impression. L'ambiance de la réflexion n'y est pas trop (du moins c'est mon avis)
Il y aussi une chose, au tout début, la transition entre le système solaire du Solarius et le système solaire du Soleil est mal distingué. Enfin j'ai l'impression que c'est toujours le même système solaire et du coup je n'avais pas compris que tu parlais de l'humanité de la Terre.
Voilà c'est tout pour l'instant, j'ai hâte de savoir la suite (dans le cas bien sûr ou tu le continu), car ça me fais penser à StarGate Universe, la survie dans un monde inconnu qui à première vu, n'est pas hostile. (j'ai bien dis à première vu ^^)
Ah j'allais oublier, si tu peux décrire un peu ce qu'il voit le robot, ce serai cool. (c'est plus prenant quand t'essayes de l'imaginer)
Voilà, j'espère que ça va t'aider.
Cordialement,
Rhyler
Tu as critiqué mon texte, je vais donc à mon tour le critiquer
Alors déjà, j'aime l'époque. Quand je dis époque, je ne parle pas de l'avancée technologique des humains, mais l'époque où le soleil nous détruira. Bon le coup du soleil en pleine évolution et les humains qui survie dans des tunnels est cliché Mais ! Le coup des deux camps humains, l'un la vraie nature de l'homme, l'autre les hommes en communauté rend le réalisme plus présent, même si on se demande comment ils ont fait pour creuser sous une température de 500°C. Le nom de la planète, Athéna, nommé parce qu'une mère appelle son bébé du même nom est un peu bizarre ^^. J'ai compris la façon dans lequel la planète va avoir un nom mais je trouve que le passage est trop rapide, on dirait qu'ils ne réfléchissent même pas, un peu dans ce style là :
"Comment s'appelle-t-elle ?
- Boudin.
- Ouais !Allez, je suis partant pour Boudin !"
Voilà c'est ma première impression. L'ambiance de la réflexion n'y est pas trop (du moins c'est mon avis)
Il y aussi une chose, au tout début, la transition entre le système solaire du Solarius et le système solaire du Soleil est mal distingué. Enfin j'ai l'impression que c'est toujours le même système solaire et du coup je n'avais pas compris que tu parlais de l'humanité de la Terre.
Juste après tu parle de l'humanité, j'ai cru que c'était celle qui s'est installé sur Athéna.cette planète étaient encore inconnue il y a peu
Voilà c'est tout pour l'instant, j'ai hâte de savoir la suite (dans le cas bien sûr ou tu le continu), car ça me fais penser à StarGate Universe, la survie dans un monde inconnu qui à première vu, n'est pas hostile. (j'ai bien dis à première vu ^^)
Ah j'allais oublier, si tu peux décrire un peu ce qu'il voit le robot, ce serai cool. (c'est plus prenant quand t'essayes de l'imaginer)
Voilà, j'espère que ça va t'aider.
Cordialement,
Rhyler
- Coco'Staffeux retraité
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Re: Projet Athéna
Mer 24 Aoû 2011 - 23:25
J'ai lu ton petit scénario, mais comme je suis très crevé, je vais faire un rapide commentaire, je verrais demain pour une critique plus en profondeur :3
J'aime bien l'histoire, le contexte me plait bien et ça parle aussi de physique avancée, donc voilà =D
J'aime bien l'histoire, le contexte me plait bien et ça parle aussi de physique avancée, donc voilà =D
- BalbereithStaffeux retraité
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Re: Projet Athéna
Jeu 25 Aoû 2011 - 17:35
Réponse à Trashouille :
"Comment s'appelle-t-elle ?
- Boudin.
- Ouais !Allez, je suis partant pour Boudin !"
J'ai du mal à faire passer le message ici, c'est vrai que cela peut paraître étrange, en fait, les enfants dans cette société est d'abord considérer comme l'espoir de survie de l'espèce, et donc je voulais faire le parrallèle entre la découverte et ce symbole. De plus, la jeune mère sera l'une des persos principales. Et à la fin ... je vous le dit pas.
J'ai essayé de me mettre à la place, de personnes qui venaient en gros de trouver un moyen de s'en sortir. Je pense que là, gros soulagement + exitation, tu ne réfléchis plus trop, XD.on dirait qu'ils ne réfléchissent même pas
Je vais essaiyer de travailler le début, pour mieux délimiter.
Pour les tunnels, les hommes avaient prévu le coup, ils s'y sont pris bien avant, quand il y avait encore des plantes à la surface, et les 500°C ne sont pas arrivé du jour au lendemain ^^
Merci de tes critiques, j'en tiens compte et vais travailler le texte, pour faire ressortir les nuances qui n'ont pas été bien rendu apparemment ^^
car ça me fais penser à StarGate Universe, la survie dans un monde inconnu qui à première vu, n'est pas hostile. (j'ai bien dis à première vu ^^)
Désolé d'être inculte, mais je ne l'ai pas vu. La planète ne sera pas nécessairement hostile, tout commencera bien, d'ailleurs, sauf que l'un des parties prendra peur, et attaquera l'autre. Je souhaite inviter la réflexion sur la légitimité d'une conquête pour la raison de survie de l'espèce et est ce que cela donne droit à commettre le pire de tout, l'extermination d'un peuple, est-ce qu'une espèce pensante doit savoir tirer sa révérence, quand son temps est venu ou lutter pour sa survie ?
Voilà, un peu la base, et ce que je souhaite rendre. Ne vous attendez pas à des héros et des méchants ^^ Le texte sera loin d'être rose. La tristesse, le stress, le regret et le remord domineront l'écrit ^^
Réponse à Coco'
J'ai même prévu, une vie différente de la notre, invitant aussi à réfléchir à la définition de la vie, est ce que notre définition de la vie ne se limite qu'à une branche de la chimie du carbone, est ce qu'une vie avec d'autre élément est possible ? Puisque pas exemple le silicium et le germanium au les même propriété electronique t don chimique.
EDIT : Rajout d'un complément dans le premier paragraphe pour marquer la rupture, et supression de la dernière phrase pour éviter un chasser-croisé inutile.
Rajout de quelque truc sur la fin. Voilà voilà
Re: Projet Athéna
Jeu 25 Aoû 2011 - 18:57
Ah c'est beaucoup mieux ! J'aime
La transition est très bien. J'attends avec impatience la suite pour voir comment tu imagines une vie différente de ce que l'homme peut imaginer
La transition est très bien. J'attends avec impatience la suite pour voir comment tu imagines une vie différente de ce que l'homme peut imaginer
- BalbereithStaffeux retraité
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Re: Projet Athéna
Jeu 25 Aoû 2011 - 20:13
Pour l'instant, on est encore sur terre ^^ le chapitre un se déroule dans les tunnels avec un convoie, ensuite le deuxième chapitre accompagnera notre héros dans une petite vadrouille dans la zone parisienne et après sur le pôle nord d'Athéna, voilà ^^
Pour la vie différent, j'imagine une vie basé sur un autre élément, notre vie est basé sur l'élément carbone, pour quoi pas, un autre élément qui a pourtant les même propriété chimique que le carbone ^^?
EDIT : Voici la première partie du premier chapitre ^^
---------------------------------------------------------------------------
Le tunnel de béton s'étendait devant le convoie. Johan Mohr marchait à coté du blindé de tête, un char Syracuse, spécialisé dans les combats en tunnel. Le jeune homme, d'une vingtaine d'année, avait les cheveux de couleur auburn, ses yeux bleus claires scrutaient le tunnel éclairé par le projeteur du Syracuse. Ils allaient arrivé à l'embranchement P114. Les scanners n'avaient rien révéler de particulier ni de dangereux :
« Lieutenant ! Johan avait appelé son subalterne...
- Mon Commandant ?
- Dites aux hommes que l'on va faire une pose... Ces jours de marches et d'escortes commencent à peser... De plus, je dois prendre une décision en ce qui concerne notre itinéraire...
- Bien, Mon Commandant, avez vous quelque chose à dire en plus pour les hommes ?
- Dites leurs juste de prendre le plus de repos possible, nous sommes bientôt arrivés.
- A vos ordres ! »
Le lieutenant s'éloigna, et relaya les ordres. La mission d'escorte duraient maintenant depuis presque trois semaines. Pourtant ils ne devait aller que de la zone de Toulouse à celle de Paris, tout aurait pu être fait en une journée. Tout était la faute de l’itinéraire, ils avaient du passer par de petit tunnel difficile pour éviter ce que les soldats appelait la jungle, c'est-à-dire les portions de tunnels contrôlés par les parias, ceux qui vivent dans les tunnels et non dans les zones. La jungle européenne était la plus violente et sanguinaire, car il y avaient peu de zones civilisées, Paris, Londres, Toulouse, Madrid, Berlin, Rome était les dernières zones encore debout, la jungle prenait les zones une par une. Les zones européennes étaient complètement isolées, les plus proches étaient celles de Moscou, de Manhattan ou encore de Khartoum, et encore celle-ci allait tomber dans les jours à venir. Le convoie avait dû passer par Bordeaux, ou ce qui restaient de cette zone, tombé il y a une vingtaine d'année. Les ruines étaient censé être désertent, mais les serres étaient encore utilisée, les parias les y avaient engagés, les combats avaient duré plusieurs jours, avant que les parias ne battent en retraite. Le convoie avait perdu, deux blindés Syracuse et une trentaines d'hommes, ils n'étaient plus qu'une vingtaine avec deux blindées avec le transporteur. Les blessées graves avaient été achevé, les blessés légers avaient remplacés ceux qui était indemnes dans les véhicules. Après Bordeaux, ils étaient passé aux environs des ruines de la zone de Nantes, pour ensuite ce diriger vers la zone de Paris. Mais ils avaient dû faire un grand nombre de détours à cause des éboulements. Maintenant ils étaient proche de Paris, seulement une ou deux journées encore.
Ils débouchèrent sur l'embranchement P114. Les blindés se positionnèrent de façon à pouvoir couvrir les quatre tunnels, le transporteur se réfugia entre les deux Syracuses. Les projecteurs s'éteignirent et chaque homme mit ses lunettes et activa la vision nocturne, les batteries commençaient à tirer sur la cordes mais cela étaient préférables à révélé leurs camps avec les projecteurs. Les hommes s'allongèrent près du transporteur est certains s'endormirent. Johan lui avait du travail, il s'approcha de son lieutenant qui vérifiait l'état du transporteur... Celui-ci avait énormément souffert lors des combats à Bordeaux, mais par chance le contenue était intacte. Johan lui tapota l'épaule et lui signe de prendre la carte des tunnels, puis ils s'éloignèrent pour éviter de perturber le repos des soldats, un repos bien mérité. Le lieutenant murmura :
« Les scanners n'ont pas été berné, cette fois, Mon Commandant.
- Nous devons nous attendre à quoi si nous continuons avec notre itinéraire actuel ?
- Juste quelques heures de retard, je pense...
- Si les plans sont bien à jour, nous perdrons moins de temps en passant par le P113, puis le P103 et enfin le P093 avant de reprendre notre itinéraire prévue.
- Cela représente bien une journée de marche, Mon Commandant...
- Je n'ai pas envie de jeter nos hommes dans ce combat, Lieutenant. Et nous risquerions d'endommager le transporteur plus qu'il ne l'ai, et là nous perdrions bien deux jours pour le réparer...
- A vos ordres.
- Nous levons le camps dans six heures. »
Le lieutenant s'éloigna avec la carte. Johan regarda vers le tunnel qui mennait à l'embranchement P104. Son récepteur se mis à vibrer, et le nom de la personne qui l'appelé s'afficha sur la droite de ses lunettes : Le Directeur d'Armsystem, Simon Havre. Johan décrocha en appuyant sur la branche droite de ses lunettes :
« Monsieur le Directeur ?
- Commandant Mohr, dans combien de temps allez vous enfin arrivé à la zone de Paris ? Vous avez deux semaines de retard !
- Je vous présente mes excuses, Monsieur, nous avons été engagé par les parias à Bordeaux et avons essuyé de lourdes pertes, après nous avons dû réviser notre itinéraire pour cause d'éboulement.
- Où êtes-vous maintenant ?
- Nous sommes à l'embranchement P114, Monsieur.
- Très bien, donc vous arrivez dans deux ou trois jours alors, parfait.
- Monsieur, nous ne suivrons pas l'itinéraire prévue...
- Je vous demande pardon ?
- Nous avons repéré des forces hostiles à l'embranchement P104.
- Et bien vous passerez aux travers, nous devons avoir ce chargement dans les plus bref délai, de plus, j'ai une autre mission, plus urgente à vous confier !
- A vos ordres, Monsieur le Directeur.
- Havre, terminé.
- Mohr, terminé. »
Le canal se ferma. Johan relaya l'information au lieutenant, puis il s'assit sur un Syracuse, dos à la tourelle. Le combat allait être rude, il se demanda si son armure Imperion, encore en version de prototype, allait encore lui sauver la vie. Son armure utilisait la même technologie de défense que les boucliers solaires, il pouvait ainsi déployait une barrière protectrice de cinq mètres de large et de deux mètres de haut, bien entendu, il ne pouvait la déployait qu'un court laps de temps. Les boucliers solaires fonctionnaient par projection d'énergie, il n'avait pas besoin de cadre support contrairement aux portes dites sentinelles. L'armure n'avait pas d'arme intégrée et elle étaient très résistante même sans le bouclier. Il portait donc un fusil d'assaut léger, un ARM2 avec baïonnette et ARP10, un pistolet conçu par Armsystem, complètement customisable, Johan avait rajouté un point rouge et avait changé le compresseur par défaut par un propulseur à rail, augmentant la portée et l'impact mais augmentant aussi le recul. Il posa son fusil à coté de lui, puis déverrouilla son ARP10 et retira l’accroche de sécurité, au cas où il aurait besoin de dégainer et de tirer rapidement. Il s'endormit en un rien de temps.
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Pour la vie différent, j'imagine une vie basé sur un autre élément, notre vie est basé sur l'élément carbone, pour quoi pas, un autre élément qui a pourtant les même propriété chimique que le carbone ^^?
EDIT : Voici la première partie du premier chapitre ^^
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Chapitre 1 : L'embranchement P104
Le tunnel de béton s'étendait devant le convoie. Johan Mohr marchait à coté du blindé de tête, un char Syracuse, spécialisé dans les combats en tunnel. Le jeune homme, d'une vingtaine d'année, avait les cheveux de couleur auburn, ses yeux bleus claires scrutaient le tunnel éclairé par le projeteur du Syracuse. Ils allaient arrivé à l'embranchement P114. Les scanners n'avaient rien révéler de particulier ni de dangereux :
« Lieutenant ! Johan avait appelé son subalterne...
- Mon Commandant ?
- Dites aux hommes que l'on va faire une pose... Ces jours de marches et d'escortes commencent à peser... De plus, je dois prendre une décision en ce qui concerne notre itinéraire...
- Bien, Mon Commandant, avez vous quelque chose à dire en plus pour les hommes ?
- Dites leurs juste de prendre le plus de repos possible, nous sommes bientôt arrivés.
- A vos ordres ! »
Le lieutenant s'éloigna, et relaya les ordres. La mission d'escorte duraient maintenant depuis presque trois semaines. Pourtant ils ne devait aller que de la zone de Toulouse à celle de Paris, tout aurait pu être fait en une journée. Tout était la faute de l’itinéraire, ils avaient du passer par de petit tunnel difficile pour éviter ce que les soldats appelait la jungle, c'est-à-dire les portions de tunnels contrôlés par les parias, ceux qui vivent dans les tunnels et non dans les zones. La jungle européenne était la plus violente et sanguinaire, car il y avaient peu de zones civilisées, Paris, Londres, Toulouse, Madrid, Berlin, Rome était les dernières zones encore debout, la jungle prenait les zones une par une. Les zones européennes étaient complètement isolées, les plus proches étaient celles de Moscou, de Manhattan ou encore de Khartoum, et encore celle-ci allait tomber dans les jours à venir. Le convoie avait dû passer par Bordeaux, ou ce qui restaient de cette zone, tombé il y a une vingtaine d'année. Les ruines étaient censé être désertent, mais les serres étaient encore utilisée, les parias les y avaient engagés, les combats avaient duré plusieurs jours, avant que les parias ne battent en retraite. Le convoie avait perdu, deux blindés Syracuse et une trentaines d'hommes, ils n'étaient plus qu'une vingtaine avec deux blindées avec le transporteur. Les blessées graves avaient été achevé, les blessés légers avaient remplacés ceux qui était indemnes dans les véhicules. Après Bordeaux, ils étaient passé aux environs des ruines de la zone de Nantes, pour ensuite ce diriger vers la zone de Paris. Mais ils avaient dû faire un grand nombre de détours à cause des éboulements. Maintenant ils étaient proche de Paris, seulement une ou deux journées encore.
Ils débouchèrent sur l'embranchement P114. Les blindés se positionnèrent de façon à pouvoir couvrir les quatre tunnels, le transporteur se réfugia entre les deux Syracuses. Les projecteurs s'éteignirent et chaque homme mit ses lunettes et activa la vision nocturne, les batteries commençaient à tirer sur la cordes mais cela étaient préférables à révélé leurs camps avec les projecteurs. Les hommes s'allongèrent près du transporteur est certains s'endormirent. Johan lui avait du travail, il s'approcha de son lieutenant qui vérifiait l'état du transporteur... Celui-ci avait énormément souffert lors des combats à Bordeaux, mais par chance le contenue était intacte. Johan lui tapota l'épaule et lui signe de prendre la carte des tunnels, puis ils s'éloignèrent pour éviter de perturber le repos des soldats, un repos bien mérité. Le lieutenant murmura :
« Les scanners n'ont pas été berné, cette fois, Mon Commandant.
- Nous devons nous attendre à quoi si nous continuons avec notre itinéraire actuel ?
- Juste quelques heures de retard, je pense...
- Si les plans sont bien à jour, nous perdrons moins de temps en passant par le P113, puis le P103 et enfin le P093 avant de reprendre notre itinéraire prévue.
- Cela représente bien une journée de marche, Mon Commandant...
- Je n'ai pas envie de jeter nos hommes dans ce combat, Lieutenant. Et nous risquerions d'endommager le transporteur plus qu'il ne l'ai, et là nous perdrions bien deux jours pour le réparer...
- A vos ordres.
- Nous levons le camps dans six heures. »
Le lieutenant s'éloigna avec la carte. Johan regarda vers le tunnel qui mennait à l'embranchement P104. Son récepteur se mis à vibrer, et le nom de la personne qui l'appelé s'afficha sur la droite de ses lunettes : Le Directeur d'Armsystem, Simon Havre. Johan décrocha en appuyant sur la branche droite de ses lunettes :
« Monsieur le Directeur ?
- Commandant Mohr, dans combien de temps allez vous enfin arrivé à la zone de Paris ? Vous avez deux semaines de retard !
- Je vous présente mes excuses, Monsieur, nous avons été engagé par les parias à Bordeaux et avons essuyé de lourdes pertes, après nous avons dû réviser notre itinéraire pour cause d'éboulement.
- Où êtes-vous maintenant ?
- Nous sommes à l'embranchement P114, Monsieur.
- Très bien, donc vous arrivez dans deux ou trois jours alors, parfait.
- Monsieur, nous ne suivrons pas l'itinéraire prévue...
- Je vous demande pardon ?
- Nous avons repéré des forces hostiles à l'embranchement P104.
- Et bien vous passerez aux travers, nous devons avoir ce chargement dans les plus bref délai, de plus, j'ai une autre mission, plus urgente à vous confier !
- A vos ordres, Monsieur le Directeur.
- Havre, terminé.
- Mohr, terminé. »
Le canal se ferma. Johan relaya l'information au lieutenant, puis il s'assit sur un Syracuse, dos à la tourelle. Le combat allait être rude, il se demanda si son armure Imperion, encore en version de prototype, allait encore lui sauver la vie. Son armure utilisait la même technologie de défense que les boucliers solaires, il pouvait ainsi déployait une barrière protectrice de cinq mètres de large et de deux mètres de haut, bien entendu, il ne pouvait la déployait qu'un court laps de temps. Les boucliers solaires fonctionnaient par projection d'énergie, il n'avait pas besoin de cadre support contrairement aux portes dites sentinelles. L'armure n'avait pas d'arme intégrée et elle étaient très résistante même sans le bouclier. Il portait donc un fusil d'assaut léger, un ARM2 avec baïonnette et ARP10, un pistolet conçu par Armsystem, complètement customisable, Johan avait rajouté un point rouge et avait changé le compresseur par défaut par un propulseur à rail, augmentant la portée et l'impact mais augmentant aussi le recul. Il posa son fusil à coté de lui, puis déverrouilla son ARP10 et retira l’accroche de sécurité, au cas où il aurait besoin de dégainer et de tirer rapidement. Il s'endormit en un rien de temps.
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Re: Projet Athéna
Jeu 25 Aoû 2011 - 21:05
Euh je me cogné la tête sur mon ventilateur, j'ai mal.
Je vais faire vite, puis j'irais édite pour plus de sérieux.
Passage plus difficile à lire (ou le mal de tête je sais pas trop). On ressens bien la difficulté de la vie humaine, l'ambiance y est mais tu pourrais je pense lui donner plus de goût : Insérer des fausses alertes ou même mettre un passage où les parias se déplace non loin du cargo et font monter un coup de stress à l'armée.
En faite, ce qui manque (c'est mon avis) c'est l'effet de stress, de peur. Je n'ai sentis que la fatigue.
Enfin je reviens, je vais faire ma vie pendant 30 - 60 min, et je peaufinerais ma critique.
Cordialement,
Rhyler
Je vais faire vite, puis j'irais édite pour plus de sérieux.
Passage plus difficile à lire (ou le mal de tête je sais pas trop). On ressens bien la difficulté de la vie humaine, l'ambiance y est mais tu pourrais je pense lui donner plus de goût : Insérer des fausses alertes ou même mettre un passage où les parias se déplace non loin du cargo et font monter un coup de stress à l'armée.
En faite, ce qui manque (c'est mon avis) c'est l'effet de stress, de peur. Je n'ai sentis que la fatigue.
Enfin je reviens, je vais faire ma vie pendant 30 - 60 min, et je peaufinerais ma critique.
Cordialement,
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Re: Projet Athéna
Jeu 25 Aoû 2011 - 22:56
Le stress va venir ^^, n'oublie pas qu'ils vont devoir traverser l'embranchement P104, j'ai prévu une petite surprise ^^
Re: Projet Athéna
Jeu 25 Aoû 2011 - 23:45
En faite je réfléchis sur le "peaufinant" mais ... je trouve pas. En faite, le passage est dur à lire car on apprend beaucoup de chose comparé au début. C'est bien écrit même si peut être l'alléger un peu ne lui ferai pas de mal, mais c'est suivant le style de lecture. J'aime le côté sérieux de l'histoire en faite
- BalbereithStaffeux retraité
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Re: Projet Athéna
Lun 29 Aoû 2011 - 14:32
Voici la suite :
-------------------------------------------------------------
Le lieutenant réveilla Johan en lui secouant doucement l'épaule. Johan grommela et se mit péniblement sur ses pieds, les autres hommes dormaient encore, le lieutenant parla tout bas :
« Mon Commandant, désolé de vous réveiller alors que nous ne partons que dans une heure, mais les scanners se sont légèrement agitée...
- Que voulez-vous dire, lieutenant...
- C'est que...
- Allez ! Dites-le !
- Ils ont l'air d'être nombreux de l'autre coté...
- Il nous faudra tout de même passer.
- Je réveille les hommes ?
- Et dites leurs d'envisager de faire leurs prières...
- Monsieur ?
- Réveillez-les, juste... »
Le lieutenant réveilla les hommes, un par un. Ils se levèrent, quelque uns s'étirèrent. Une fois, tout les hommes prêt à se remettre en marche, Johan se posta à l'avant du convoie, et clama du voie forte :
« Messieurs ! Vérifiez votre équipement ! Nous engagerons l'ennemi avec rapidité et brutalité ! Les deux Syracuses passent devant le transporteur, exécution. »
Une certaine agitation se fit sentir, les cliquetis des armes que l'on préparait, le grondement des blindés qui se mettaient en mouvement. Johan vérifia que tout ce qu'il avait demander allaient être fait, puis 'occupa de son propre équipement, il resserra certaines sangles, puis activa ses générateurs énergétiques, il activa le bouclier, un mur bleu apparut devant lui, il le désactiva, et regarda la jauge d'énergie se recharger sur son ordinateur de contrôle sur son avant-bras droit. Il vérifia le chargeur de son ARM2 et la fixation de la baïonnette. Tout les soldats étaient prêt, Johan fit signe de commencer.
Marcher vers l'objectif était stressant pour tout le monde, les mains étaient crispé sur les armes, leurs marches étaient raides, certains avaient le front couvert de sueur. Les plus jeunes tremblaient... Johan fit un signe, ils n'étaient plus très loin, tous s'arrêtèrent, Johan alla discuter rapidement avec les pilote des Syracuses, puis repris sa position. Les pilotes activèrent le mode « roue », les chenilles remontèrent et des roues plus discrètes sortir du dessous du blindé. Au deuxième signe, les hommes se déployèrent le long du mur et tous activèrent leur assistant de visée et de repérage, une petite merveille de réalité augmentée. Les ennemis étaient repérée par un halo orangé, la distance était aussi affichait à coté. Toute les infos environnementales s'affichaient dans les coins des lunettes. Johan avait des lunettes adaptaient au commandement, il avait un radar et un affichage de la situation en temps réel, il savait qui avait abattu qui à tout moment. Une grosse partie de l'entraînement des soldats concernaient ces lunettes, comment combattre, sans pour autant être distrait pour toutes les informations qui arrivaient sans discontinuer...
Johan s'était adossé au mur de droite, il regarda tout autour de lui, puis donna le signal d'un geste assez tremblant. Tout le monde progressa le plus silencieusement possible. L'embranchement P104 était à portée de vue, puis les halos orangés commencèrent à apparaître. Le logiciel dénombrait 54 adversaires, et afficha le ratio : « deux contre un » . La jauge de batterie des lunettes commença à clignoter. Johan désactiva certaines fonctionnalité pour économiser la batterie, il ne garda que le radar et la détection visuel des ennemis. Il raffermit sa prise sur son arme, respira profondément, leva la main droite, puisque Johan était gaucher, puis l'abaissa rapidement en direction de l'objectif. Les Syracuses démarrèrent à toute allure, et débouchèrent dans l'embranchement, il y avait des gravas partout. Les tourelles des Syracuses se mirent en route. Tout les soldats se mirent à couvert derrière les gravas. Puis la riposte commença. Les parias répliquèrent avec un barrage de tirs de missiles de fortunes, heureusement que le transporteur était resté dans le tunnel. Le barrage tiraient à l'aveuglette ne fit aucun mort, mais immobilisa l'un des Syracuse. Le dernier ingénieur qui avait survécu à la bataille de Bordeaux s'en approcha et commença les réparations, les missiles avaient imposer une forte contrainte mécanique sur le blindé et le système de direction s'était coincés. Johan fit un détour derrière les gravas pour tenté de contourné quelques adversaires. Il n'était plus stressé dès les premiers coup de feu, toutes ses peurs, toutes ses angoisses avaient disparues. Il arriva derrière la ligne des parias, ils étaient désorganisé, n'ayant pas eu le temps de coordonnées leurs défenses, ils avaient construit des postes sur élevées, pour dominer l'embranchement, mais la plupart n'étaient pas terminer. Un paria lui tournait le dos, mitraillant les soldats par-dessus le tas de gravas. Il s'en approcha silencieusement, posa son fusil lentement sur le sol, et attrapa le paria par la gorge, et commença à l’étrangler. Le paria sombra dans l'inconscience en quelques secondes, Johan le laissa tomber et ramassa son fusil. Il lança un regard à droite, un paria l'avait vu, ce dernier épaulait son arme, Johan activa le bouclier, lorsque le paria appuya sur la détente. Le mur bleu apparu et les balles rebondirent dessus. Johan se mit à couvert. Les balles percutaient le tas de gravas contre lequel il s'était adosser. Il se retourna et tira, deux parias tombèrent.
------------------------------------------------------------------------------------
Voili voilou.
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Le lieutenant réveilla Johan en lui secouant doucement l'épaule. Johan grommela et se mit péniblement sur ses pieds, les autres hommes dormaient encore, le lieutenant parla tout bas :
« Mon Commandant, désolé de vous réveiller alors que nous ne partons que dans une heure, mais les scanners se sont légèrement agitée...
- Que voulez-vous dire, lieutenant...
- C'est que...
- Allez ! Dites-le !
- Ils ont l'air d'être nombreux de l'autre coté...
- Il nous faudra tout de même passer.
- Je réveille les hommes ?
- Et dites leurs d'envisager de faire leurs prières...
- Monsieur ?
- Réveillez-les, juste... »
Le lieutenant réveilla les hommes, un par un. Ils se levèrent, quelque uns s'étirèrent. Une fois, tout les hommes prêt à se remettre en marche, Johan se posta à l'avant du convoie, et clama du voie forte :
« Messieurs ! Vérifiez votre équipement ! Nous engagerons l'ennemi avec rapidité et brutalité ! Les deux Syracuses passent devant le transporteur, exécution. »
Une certaine agitation se fit sentir, les cliquetis des armes que l'on préparait, le grondement des blindés qui se mettaient en mouvement. Johan vérifia que tout ce qu'il avait demander allaient être fait, puis 'occupa de son propre équipement, il resserra certaines sangles, puis activa ses générateurs énergétiques, il activa le bouclier, un mur bleu apparut devant lui, il le désactiva, et regarda la jauge d'énergie se recharger sur son ordinateur de contrôle sur son avant-bras droit. Il vérifia le chargeur de son ARM2 et la fixation de la baïonnette. Tout les soldats étaient prêt, Johan fit signe de commencer.
Marcher vers l'objectif était stressant pour tout le monde, les mains étaient crispé sur les armes, leurs marches étaient raides, certains avaient le front couvert de sueur. Les plus jeunes tremblaient... Johan fit un signe, ils n'étaient plus très loin, tous s'arrêtèrent, Johan alla discuter rapidement avec les pilote des Syracuses, puis repris sa position. Les pilotes activèrent le mode « roue », les chenilles remontèrent et des roues plus discrètes sortir du dessous du blindé. Au deuxième signe, les hommes se déployèrent le long du mur et tous activèrent leur assistant de visée et de repérage, une petite merveille de réalité augmentée. Les ennemis étaient repérée par un halo orangé, la distance était aussi affichait à coté. Toute les infos environnementales s'affichaient dans les coins des lunettes. Johan avait des lunettes adaptaient au commandement, il avait un radar et un affichage de la situation en temps réel, il savait qui avait abattu qui à tout moment. Une grosse partie de l'entraînement des soldats concernaient ces lunettes, comment combattre, sans pour autant être distrait pour toutes les informations qui arrivaient sans discontinuer...
Johan s'était adossé au mur de droite, il regarda tout autour de lui, puis donna le signal d'un geste assez tremblant. Tout le monde progressa le plus silencieusement possible. L'embranchement P104 était à portée de vue, puis les halos orangés commencèrent à apparaître. Le logiciel dénombrait 54 adversaires, et afficha le ratio : « deux contre un » . La jauge de batterie des lunettes commença à clignoter. Johan désactiva certaines fonctionnalité pour économiser la batterie, il ne garda que le radar et la détection visuel des ennemis. Il raffermit sa prise sur son arme, respira profondément, leva la main droite, puisque Johan était gaucher, puis l'abaissa rapidement en direction de l'objectif. Les Syracuses démarrèrent à toute allure, et débouchèrent dans l'embranchement, il y avait des gravas partout. Les tourelles des Syracuses se mirent en route. Tout les soldats se mirent à couvert derrière les gravas. Puis la riposte commença. Les parias répliquèrent avec un barrage de tirs de missiles de fortunes, heureusement que le transporteur était resté dans le tunnel. Le barrage tiraient à l'aveuglette ne fit aucun mort, mais immobilisa l'un des Syracuse. Le dernier ingénieur qui avait survécu à la bataille de Bordeaux s'en approcha et commença les réparations, les missiles avaient imposer une forte contrainte mécanique sur le blindé et le système de direction s'était coincés. Johan fit un détour derrière les gravas pour tenté de contourné quelques adversaires. Il n'était plus stressé dès les premiers coup de feu, toutes ses peurs, toutes ses angoisses avaient disparues. Il arriva derrière la ligne des parias, ils étaient désorganisé, n'ayant pas eu le temps de coordonnées leurs défenses, ils avaient construit des postes sur élevées, pour dominer l'embranchement, mais la plupart n'étaient pas terminer. Un paria lui tournait le dos, mitraillant les soldats par-dessus le tas de gravas. Il s'en approcha silencieusement, posa son fusil lentement sur le sol, et attrapa le paria par la gorge, et commença à l’étrangler. Le paria sombra dans l'inconscience en quelques secondes, Johan le laissa tomber et ramassa son fusil. Il lança un regard à droite, un paria l'avait vu, ce dernier épaulait son arme, Johan activa le bouclier, lorsque le paria appuya sur la détente. Le mur bleu apparu et les balles rebondirent dessus. Johan se mit à couvert. Les balles percutaient le tas de gravas contre lequel il s'était adosser. Il se retourna et tira, deux parias tombèrent.
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Voili voilou.
Re: Projet Athéna
Lun 29 Aoû 2011 - 17:42
Rah zut on dirait la télé, il coupe toujours au mauvais moment ><'
C'est bien décrit, on se sens bien dans la scène. J'aime beaucoup, a quand la fin de la pub ?
C'est bien décrit, on se sens bien dans la scène. J'aime beaucoup, a quand la fin de la pub ?
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Re: Projet Athéna
Ven 2 Sep 2011 - 23:17
Rhyler a écrit: a quand la fin de la pub ?
Bah la je reviens de la préfecture, et là je go geeker un peu. Je pense que je continuerai ce soir.
EDIT : Vous remarquerez que Johan est vraiment trop stock, et le fait qu'il soit hyper relaxe en combat. Tout sera expliqué plus tard.
RE EDIT : désolé du retard :
------------------------------------------------------------------
Les Syracuses tiraient, les gatlings balayaient l'embranchement, les soldats combattaient. Les halos orangés disparaissaient les un après les autres, une chose était sûre, ces parias n'avaient pas l'habitude de se battre. Johan avait trois parias qui le forçaient à rester à couvert, s'il ne faisait rien, une autre salve de missile risquerait de partir, et il en était proche, il pouvait l'éviter, il se décala, puis tenta une sortie, il abattit un paria, puis activa son bouclier, il se mit à couvert au tas de gravats suivant. Il attendit que l'énergie du bouclier se reconstitue, puis répéta l'opération, le deuxième paria tomba au sol, l'épaule ensanglantée. Il se mit à hurler de l'aide, son compagnon le regarda, un instant d'hésitation de trop, Johan ne laissa pas passer cette occasion, il l’abattit. La bataille tourna court, une fois toutes les cibles neutralisées, les soldats se mirent à découvert , ils comptèrent trois morts dans leurs rangs. Il fallait maintenant déblayer un chemin pour les véhicules...
Cela prit plus d'une heure, et lorsqu'ils étaient prêt à repartir, les véritables problèmes commencèrent. Johan parlait avec le lieutenant, ses lunettes en marche tant que le convoi n'aurait pas quitté la zone, d'un coup, le message « Verrouillé ! » apparu, Johan se retourna pour voir une roquette volé vers l'un des Syracuses, il se jeta en travers en activant son bouclier, qui encaissa l'explosion mais projeta Johan contre le blindé. Le lieutenant donna l'alerte et ordonna l'évacuation du convoi, le transporteur démarra et s’engagea dans le tunnel, puis tous commencèrent leurs retraite sous un déluge de balles, les parias étaient de retour, mais maintenant, c'était des professionnels. Johan se releva péniblement aidé par le lieutenant :
« Mon commandant, on a un léger problème.
- Comme si je ne m'en rendait pas compte...
- Ils ont un blindé !
- Quoi !? »
Johan regarda vers l'embouchure d'où venait l'attaque, un blindé en sortait, c'était un Vulcan 10 d'une société concurrente d'Armsystem, et ce modèle était un modèle antichar. La tourelle pivota et se verrouilla sur les deux hommes, Johan activa le bouclier, et l'obus les cloua au sol, désarçonnés. Certains soldats se retournèrent et voulurent les aider, mais le lieutenant leur hurlèrent de fuir, le plus vite possible. Le bouclier toujours actif, ils se réfugièrent derrière un tas de gravas :
« Mon commandant, on est foutu...
- Mais non...
- Et vous allez me dire comment vous voulez nous sortir de cette merde ? »
Johan ignora la question et chargea son fusil. Il prit son transmetteur :
« Ici, Johan Mohr, commandant des forces de protection d'Armsytem, QG, vous me recevez ?
- 5 sur 5, Commandant Mohr.
- Demande d'assistance ! Nous nous sommes fait engagé par un Vulcan 10 et un groupe de parias. Je répète, besoin d'assistance !
- Explicitez vos effectifs !
- Nous sommes deux, le lieutenant et moi, le reste du convoi procède à une retraite jusqu'à l'objectif.
- Entendu ! L'escouade spectrale prend en main la protection et votre soutient.
- Combien de temps ?
- Deux heures, Commandant, vous devrez tenir cette durée.
- Entendu ! Mohr terminé !
- Bonne chance, Commandant, QG terminé »
Johan sourit au lieutenant puis se leva et riposta d'une salve, un parias s'écroula. Le lieutenant fit de même, puis il se penchèrent pour éviter la réponse des parias, et l'obus qui siffla au-dessus de leurs têtes.
« Nous tiendrons, lieutenant, nous tiendrons !
- Franchement, si on s'en sort tout les deux, je vous paye un verre, Mon Commandant.
- C'est pas de refus, et je fais de même... »
-------------------------------------------------------------------
Désolé, j'ai pas eu beaucoup le temps d'écrire, c'est derniers temps.
Re: Projet Athéna
Sam 3 Sep 2011 - 20:43
On ne te presse pas ^^désolé du retard
La suite est certes courtes mais bien écrite. Ce que je reproche c'est que ça manque de détails, aucun vocabulaire pousse l'émotion de la bataille, du moins c'est mon avis. En lisant le texte j'ai l'impression qu'il y a 8 à 9 parias maximum. Mon conseil ce serait de faire ressortir l'impression des soldats, à peine ou presque éveillés, de voir une embuscade dans un tunnel. Cela doit être fatigant, marcher et encore marcher en plus d'une embuscade et détenant une livraison importante. Et comme la fatigue rentre en jeu, surpris, les soldats peuvent avoir l'impression qu'ils sont 20 voir même 30. C'est pas le nombre exact de parias qui va rendre la lecture plus attrayante mais l'illusion du nombre de parias. Faire un sorte que le lecteur croit à l'illusion.
Voilà, je pense avoir tout dis.
Voilà, je pense avoir tout dis.
On ne t'obliges pas écrire un texte par jour ^^Désolé, j'ai pas eu beaucoup le temps d'écrire, c'est derniers temps.
Cordialement,
Rhyler
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Re: Projet Athéna
Dim 18 Sep 2011 - 22:20
Voici la suite.
---------------------------------------------------
Pendant ce temps, dans la zone de Paris, le siège d'Armsystem était en effervescence, pour préparer l'arrivée du convoie, et l'escouade spectrale était prête à partir.
« Madame Bellifort, ramenez les chez eux.
- Comme vous voudrez, Monsieur le Directeur. »
La jeune femme portait une armure de la génération précèdent le prototype Imperion, son armure avait été modifié pour les besoins de l'escouade suivant le modèle Centurion Custom G. Elle avait une fonction de garde dans l'escouade, c'est-à-dire qu'elle était spécialiste en combat de courte portée, les armures Centurion de type G pouvait eux aussi déployait un bouclier, mais pas aussi large que celui de l'Imperion. Le bouclier ne pouvait que protéger le corps de l'utilisateur et consommait, par contre, moins d’énergie, ce qui permettait un emploi continue.
Elle sera la main du directeur, et enjamba sa moto. Tout les commando spectraux était prêt assis sur leurs motos respectives. Le directeur recula pour laisser le champ libre, et salua d'un coup de tête, la jeune femme donna le signal, et les moteurs commencèrent à ronfler, l'arrière de carénage s'ouvrit pour laisser place à un réacteur à propulsion. L'air chaud commença à souffler à l'arrière des motos. Elle se pencha, retira la béquille, et tourna la poignée des gaz, un bruit de turbine empli le sous sol, les crissèrent sur la route, et la moto fut propulser à une vitesse bien supérieur aux voitures des époques précédentes, l'escouade passa le tunnel du souterrain qui reliait les sous-sols à la route d'évacuation de la zone de Paris, au bout les portes blindées s'ouvraient, longue et droite, la route permettait aux motos de prendre de la vitesse, ils passèrent la porte au bout de quelques secondes, les pilotes activèrent activèrent les percepteurs de pilotage de leurs casques, ce qui leur permettait de prévoir à l'avance les obstacles et les courbures des tunnels.
« Commandant, avez-vous un magasin, je n'ai plus de munition.
- Économisez ! C'est mon dernier ! »
Johann lui tendit un chargeur. Le blindé adverse leur avait mis la pression mais le bouclier de Johann avait permis de dévier chaque obus. Les parias ne progressaient plus, légèrement dérouté par la fermeté des deux hommes. Le lieutenant avait une mine désespérée, il avait pris une balle dans l'épaule, il souffrait mais ne disait rien, n'osant pas se plaindre devant son commandant, dont l'ordinateur de poignée signalaient des micro-fractures et des liaisons internes. Les deux hommes étaient fatigués, souffrant, ils voyaient toujours un paria pour remplacer celui qu'ils avaient abattus. Le récepteur de Johan se mit à vibrer, les lunettes se remirent en marchent pour afficher l'identité de l'interlocuteur, Stella Bellifort. Son portrait s'afficha au-dessus de son nom, une jeune femme, blonde aux yeux bleus, d'une grande beauté. Le canal s'ouvrit et laissa un bruit de propulseur :
« Commandant Mohr ? Ici, le capitaine d'infanterie spectrale Bellifort, je souhaite un rapport sur votre situation !
- Elle est globalement mauvaise, Capitaine, je n'ai pas réussi à joindre mes hommes, depuis le début de l'escarmouche...
- Nous les avons sur le radar, les Syracuses leur servent apparemment de bouclier. Ils sont cloués sur place, ne vous en faites pas, Commandant, nous les tirerons de là, leur situation n'est pas aussi désespérée que la vôtre.
- Je suis seul avec un de mes hommes, nous sommes blessés et à court de munitions.
- Transférez-moi vos données de statu médical.
- Voilà, Johan avait appuyé sur le bouton de transfert de donnée de son ordinateur de poignée, les données était envoyé à l'interlocuteur actuel.
- Très bien, Commandant, je me charge personnellement de votre extraction de la zone de combat, mes hommes s'occuperont du convoie.
- Je me doit de vous prévenir que nous faisons actuellement face à un blindée Vulcan 10.
- Restez à couvert jusqu'à mon arrivée, j'arrive dans deux minutes, Capitaine Bellifort, terminé ! »
Johan s'adossa aux débris et regarda le lieutenant, qui lutté contre la perte de conscience, ce dernier le regarda, les yeux vitreux :
« Alors, Commandant ? On se le prendra ce verre ?
Bien sûr, ils seront là dans deux minutes, tenez le coup. »
Le lieutenant sourit, un obus explosa sur le tas de débris, projetant de la poussière et des éclats au-dessus de leurs têtes. L'onde de choc fit gémir les deux hommes de douleur, l'ordinateur de poignée de Johan se mit à sonner furieusement, Johan jeta un coup d’œil. Le rapport médical était affiché et la mention, « hors combat » clignotait précipitamment. Johan fit afficher celui du lieutenant, le sien portait la mention « extraction d'urgence ». Johan laissa tombait son bras sur le sol, et appuya la tête sur les débris derrière lui. Un son tonitruante commença à grandir dans le tunnel, le bruit d'un réacteur. Une moto fit son apparition, sans pilote, la moto sonna quant elle passa devant les deux hommes aux portes de la mort. La moto explosa sur le Vulcan 10. L'auto-destruction de la moto avait été activé. Les parias firent un tir de barrage en direction du tunnel. Un bouclier d'énergie bleu apparut dans le noir, et une armure noir de type Centurion se précipita au devant des balles. L'insigne spectrale brillait comme un soleil d'espoir pour les deux hommes, le lieutenant s’agita, et pesta de douleur, il regagnait espoir de survie, et voulait tout faire pour saisir cette opportunité. Le capitaine Bellifort activa l'arme reliée à son bras d'armure gauche, une phalange. Cette arme était un canon à rails à répétition.
---------------------------------------------------
Pendant ce temps, dans la zone de Paris, le siège d'Armsystem était en effervescence, pour préparer l'arrivée du convoie, et l'escouade spectrale était prête à partir.
« Madame Bellifort, ramenez les chez eux.
- Comme vous voudrez, Monsieur le Directeur. »
La jeune femme portait une armure de la génération précèdent le prototype Imperion, son armure avait été modifié pour les besoins de l'escouade suivant le modèle Centurion Custom G. Elle avait une fonction de garde dans l'escouade, c'est-à-dire qu'elle était spécialiste en combat de courte portée, les armures Centurion de type G pouvait eux aussi déployait un bouclier, mais pas aussi large que celui de l'Imperion. Le bouclier ne pouvait que protéger le corps de l'utilisateur et consommait, par contre, moins d’énergie, ce qui permettait un emploi continue.
Elle sera la main du directeur, et enjamba sa moto. Tout les commando spectraux était prêt assis sur leurs motos respectives. Le directeur recula pour laisser le champ libre, et salua d'un coup de tête, la jeune femme donna le signal, et les moteurs commencèrent à ronfler, l'arrière de carénage s'ouvrit pour laisser place à un réacteur à propulsion. L'air chaud commença à souffler à l'arrière des motos. Elle se pencha, retira la béquille, et tourna la poignée des gaz, un bruit de turbine empli le sous sol, les crissèrent sur la route, et la moto fut propulser à une vitesse bien supérieur aux voitures des époques précédentes, l'escouade passa le tunnel du souterrain qui reliait les sous-sols à la route d'évacuation de la zone de Paris, au bout les portes blindées s'ouvraient, longue et droite, la route permettait aux motos de prendre de la vitesse, ils passèrent la porte au bout de quelques secondes, les pilotes activèrent activèrent les percepteurs de pilotage de leurs casques, ce qui leur permettait de prévoir à l'avance les obstacles et les courbures des tunnels.
« Commandant, avez-vous un magasin, je n'ai plus de munition.
- Économisez ! C'est mon dernier ! »
Johann lui tendit un chargeur. Le blindé adverse leur avait mis la pression mais le bouclier de Johann avait permis de dévier chaque obus. Les parias ne progressaient plus, légèrement dérouté par la fermeté des deux hommes. Le lieutenant avait une mine désespérée, il avait pris une balle dans l'épaule, il souffrait mais ne disait rien, n'osant pas se plaindre devant son commandant, dont l'ordinateur de poignée signalaient des micro-fractures et des liaisons internes. Les deux hommes étaient fatigués, souffrant, ils voyaient toujours un paria pour remplacer celui qu'ils avaient abattus. Le récepteur de Johan se mit à vibrer, les lunettes se remirent en marchent pour afficher l'identité de l'interlocuteur, Stella Bellifort. Son portrait s'afficha au-dessus de son nom, une jeune femme, blonde aux yeux bleus, d'une grande beauté. Le canal s'ouvrit et laissa un bruit de propulseur :
« Commandant Mohr ? Ici, le capitaine d'infanterie spectrale Bellifort, je souhaite un rapport sur votre situation !
- Elle est globalement mauvaise, Capitaine, je n'ai pas réussi à joindre mes hommes, depuis le début de l'escarmouche...
- Nous les avons sur le radar, les Syracuses leur servent apparemment de bouclier. Ils sont cloués sur place, ne vous en faites pas, Commandant, nous les tirerons de là, leur situation n'est pas aussi désespérée que la vôtre.
- Je suis seul avec un de mes hommes, nous sommes blessés et à court de munitions.
- Transférez-moi vos données de statu médical.
- Voilà, Johan avait appuyé sur le bouton de transfert de donnée de son ordinateur de poignée, les données était envoyé à l'interlocuteur actuel.
- Très bien, Commandant, je me charge personnellement de votre extraction de la zone de combat, mes hommes s'occuperont du convoie.
- Je me doit de vous prévenir que nous faisons actuellement face à un blindée Vulcan 10.
- Restez à couvert jusqu'à mon arrivée, j'arrive dans deux minutes, Capitaine Bellifort, terminé ! »
Johan s'adossa aux débris et regarda le lieutenant, qui lutté contre la perte de conscience, ce dernier le regarda, les yeux vitreux :
« Alors, Commandant ? On se le prendra ce verre ?
Bien sûr, ils seront là dans deux minutes, tenez le coup. »
Le lieutenant sourit, un obus explosa sur le tas de débris, projetant de la poussière et des éclats au-dessus de leurs têtes. L'onde de choc fit gémir les deux hommes de douleur, l'ordinateur de poignée de Johan se mit à sonner furieusement, Johan jeta un coup d’œil. Le rapport médical était affiché et la mention, « hors combat » clignotait précipitamment. Johan fit afficher celui du lieutenant, le sien portait la mention « extraction d'urgence ». Johan laissa tombait son bras sur le sol, et appuya la tête sur les débris derrière lui. Un son tonitruante commença à grandir dans le tunnel, le bruit d'un réacteur. Une moto fit son apparition, sans pilote, la moto sonna quant elle passa devant les deux hommes aux portes de la mort. La moto explosa sur le Vulcan 10. L'auto-destruction de la moto avait été activé. Les parias firent un tir de barrage en direction du tunnel. Un bouclier d'énergie bleu apparut dans le noir, et une armure noir de type Centurion se précipita au devant des balles. L'insigne spectrale brillait comme un soleil d'espoir pour les deux hommes, le lieutenant s’agita, et pesta de douleur, il regagnait espoir de survie, et voulait tout faire pour saisir cette opportunité. Le capitaine Bellifort activa l'arme reliée à son bras d'armure gauche, une phalange. Cette arme était un canon à rails à répétition.
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Re: Projet Athéna
Mer 21 Sep 2011 - 20:34
Salut Balba'
Alors, j'ai lu le début de ton histoire (enfin, tout ce que tu as écrit en fait) et je dois dire que c'est pas mal et même très intéressant.
L'annonce même d'une planète nouvelle à explorer (et coloniser) permet déjà toutes les possibilités.
Mais avoir un aperçu de ce que pourrait être demain est également attractif.
Et dans l'ensemble, ça me plait. J'aime bien ton style d'écriture et il y a une bonne accroche. Quelque chose qui attire d'emblée et nous
donne l'envie de lire la suite.
__________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Bon, sinon, pour rentrer dans les détails, y a pas mal de choses qui m'ont fait "tilt"^^ et qui n'ont pas été traité par Rhyler
- Tout d'abord, les fautes (orthographes, accords, grammaires, syntaxe, etc...). Y en plein, plein, plein^^
Essaie de corriger ça (ou si tu veux, je peux te le faire), parce que ça fait quand même mal aux yeux.
- Ensuite, pour rester dans le même sujet, il y a pas mal d'erreur dans ta ponctuation. Et c'est important d'y prêter attention. Surtout dans tes dialogues.
Si tu met un point, ça n'a pas le même impact qu'une point d'exclamation. Ces différences là te permettront sans que le lecteur y prête attention d'accentuer
les évènements.
- J'ai relevé également pas mal de répétition. Il y a des moments où tu pourrais alléger quelques phrases en utilisant d'autres mots, ou carrément en n'en utilisant pas
si la continuation de ta phrase le permet.
(ex : Johan fit un signe, ils n'étaient plus très loin, tous s'arrêtèrent, Johan alla discuter rapidement avec les pilote des Syracuses, puis repris sa position. Les pilotes activèrent le mode « roue », les chenilles remontèrent et des roues plus discrètes sortir du dessous du blindé.
>>>
Ils n'étaient plus très loin. Johan fit un signe et tous s'arrêtèrent. Il donna des consignes rapides aux pilotes des Syracuses, puis repris sa position. Ceux-ci activèrent alors le mode « roues » : les chenilles remontèrent et des roues plus discrètes sortirent en dessous du blindé.)
Voilà, dans l'exemple, j'évite de répéter "Johan" et "les pilotes" deux fois de suite. Ensuite, je mets plus de points car les hommes sont arrêtés, donc l'action suspendue ou moins rapide. Mais comme on sent que la tension monte, j'évite de faire des phrases trop longues, pour garder le lecteur en suspens.
Bon, je te dis ça, c'est mon ressenti sur le moment et lors de ma lecture. A voir avec d'autres ce qu'ils en pensent.
----
Ensuite, je rejoindrai Rhyler pour dire que ça manque de détails. Pas forcément dans les équipements (qui sont plutôt bien décrit - d'ailleurs, j'aime bien le moment où tu parles du plastron Centurion. Tu utilises des noms et des références qu'on ne connait pas du tout mais on découvre quelques détails au fur et à mesure, sans trop en savoir, ce qui évite de se perdre en données inutiles),
mais plutôt -je trouve - dans l'environnement.
Déjà, le fait qu'il y ait des véhicules (et des blindés) dans des tunnels, ça me choque. Et ça, c'est parce que je n'ai pas détail, du coup, je m'imagine les gars survivre dans des tunnels, comme dans des grottes. Plus loin, je lis qu'il y a des blindés, docn je me dis : "Ah, c'est pas ça, ça doit être un peu plus grand", donc je devine 5-6m de hauteur. Mais au final, je n'ai pas de confirmation.
Et quand je vois à la fin, qu'une moto s'explose sur un tank pour le faire sauter, je me dis là encore "une explosion dans un tunnel ? ouah, faut pas rester dans le coin...." et je me demande du coup, comment est géré la ventilation/l'air vu qu'ils vivent tous "enfermés".
Donc voilà, essaie de nous faire ressentir cette impression d'enfermement, de chaleur (je suppose, car entre le centre de la terre, et le RdC où il faut 500°, ils doivent pas trop se balader en doudoune, mon avis )
Pareil lors des combats, les mouvements des assaillants, la surprise des soldats, etc...
J'espère que j'étais assez clairs dans mes explications et ressentis ?
---
Une dernière chose : Je n'ai pas trop compris ou ressentis de différence entre les "parias" et les "gens civilisés".
Vu que les "parias" s'attaquent avec un ratio de 2vs1 contre les militaires, c'est qu'il y a un minimum d'organisation dans leurs effectifs, et de cohérence. Après, pourquoi ne se sont-ils pas rallié aux "civilisés" ?
Mystère...
Mais c'est peut-être une question à laquelle tu répondras plus tard dans le texte ?
Dans tout les cas, et même si cette situation est potentiellement réaliste, elle me parait étrange. Il y a beaucoup d'inconnues qui me dérange^^
Mais bon.
___________________________________
Voilà, et désolé pour le pavé.
J'espère que ça ne t'as pas soulé toutes ces réflexions^^
Mais en tout cas, je tiens à te (re)dire que j'aime bien cette histoire, et que tu as de quoi nous attirer. C'est du bon.
Et par ailleurs, j'aime bien le mélange fantastique/scientifique.
(Comme dans les bouquins de Bernard Werber, où tout se mêle, le possible et le réalisable )
Alors, j'ai lu le début de ton histoire (enfin, tout ce que tu as écrit en fait) et je dois dire que c'est pas mal et même très intéressant.
L'annonce même d'une planète nouvelle à explorer (et coloniser) permet déjà toutes les possibilités.
Mais avoir un aperçu de ce que pourrait être demain est également attractif.
Et dans l'ensemble, ça me plait. J'aime bien ton style d'écriture et il y a une bonne accroche. Quelque chose qui attire d'emblée et nous
donne l'envie de lire la suite.
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Bon, sinon, pour rentrer dans les détails, y a pas mal de choses qui m'ont fait "tilt"^^ et qui n'ont pas été traité par Rhyler
- Tout d'abord, les fautes (orthographes, accords, grammaires, syntaxe, etc...). Y en plein, plein, plein^^
Essaie de corriger ça (ou si tu veux, je peux te le faire), parce que ça fait quand même mal aux yeux.
- Ensuite, pour rester dans le même sujet, il y a pas mal d'erreur dans ta ponctuation. Et c'est important d'y prêter attention. Surtout dans tes dialogues.
Si tu met un point, ça n'a pas le même impact qu'une point d'exclamation. Ces différences là te permettront sans que le lecteur y prête attention d'accentuer
les évènements.
- J'ai relevé également pas mal de répétition. Il y a des moments où tu pourrais alléger quelques phrases en utilisant d'autres mots, ou carrément en n'en utilisant pas
si la continuation de ta phrase le permet.
(ex : Johan fit un signe, ils n'étaient plus très loin, tous s'arrêtèrent, Johan alla discuter rapidement avec les pilote des Syracuses, puis repris sa position. Les pilotes activèrent le mode « roue », les chenilles remontèrent et des roues plus discrètes sortir du dessous du blindé.
>>>
Ils n'étaient plus très loin. Johan fit un signe et tous s'arrêtèrent. Il donna des consignes rapides aux pilotes des Syracuses, puis repris sa position. Ceux-ci activèrent alors le mode « roues » : les chenilles remontèrent et des roues plus discrètes sortirent en dessous du blindé.)
Voilà, dans l'exemple, j'évite de répéter "Johan" et "les pilotes" deux fois de suite. Ensuite, je mets plus de points car les hommes sont arrêtés, donc l'action suspendue ou moins rapide. Mais comme on sent que la tension monte, j'évite de faire des phrases trop longues, pour garder le lecteur en suspens.
Bon, je te dis ça, c'est mon ressenti sur le moment et lors de ma lecture. A voir avec d'autres ce qu'ils en pensent.
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Ensuite, je rejoindrai Rhyler pour dire que ça manque de détails. Pas forcément dans les équipements (qui sont plutôt bien décrit - d'ailleurs, j'aime bien le moment où tu parles du plastron Centurion. Tu utilises des noms et des références qu'on ne connait pas du tout mais on découvre quelques détails au fur et à mesure, sans trop en savoir, ce qui évite de se perdre en données inutiles),
mais plutôt -je trouve - dans l'environnement.
Déjà, le fait qu'il y ait des véhicules (et des blindés) dans des tunnels, ça me choque. Et ça, c'est parce que je n'ai pas détail, du coup, je m'imagine les gars survivre dans des tunnels, comme dans des grottes. Plus loin, je lis qu'il y a des blindés, docn je me dis : "Ah, c'est pas ça, ça doit être un peu plus grand", donc je devine 5-6m de hauteur. Mais au final, je n'ai pas de confirmation.
Et quand je vois à la fin, qu'une moto s'explose sur un tank pour le faire sauter, je me dis là encore "une explosion dans un tunnel ? ouah, faut pas rester dans le coin...." et je me demande du coup, comment est géré la ventilation/l'air vu qu'ils vivent tous "enfermés".
Donc voilà, essaie de nous faire ressentir cette impression d'enfermement, de chaleur (je suppose, car entre le centre de la terre, et le RdC où il faut 500°, ils doivent pas trop se balader en doudoune, mon avis )
Pareil lors des combats, les mouvements des assaillants, la surprise des soldats, etc...
J'espère que j'étais assez clairs dans mes explications et ressentis ?
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Une dernière chose : Je n'ai pas trop compris ou ressentis de différence entre les "parias" et les "gens civilisés".
Vu que les "parias" s'attaquent avec un ratio de 2vs1 contre les militaires, c'est qu'il y a un minimum d'organisation dans leurs effectifs, et de cohérence. Après, pourquoi ne se sont-ils pas rallié aux "civilisés" ?
Mystère...
Mais c'est peut-être une question à laquelle tu répondras plus tard dans le texte ?
Dans tout les cas, et même si cette situation est potentiellement réaliste, elle me parait étrange. Il y a beaucoup d'inconnues qui me dérange^^
Mais bon.
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Voilà, et désolé pour le pavé.
J'espère que ça ne t'as pas soulé toutes ces réflexions^^
Mais en tout cas, je tiens à te (re)dire que j'aime bien cette histoire, et que tu as de quoi nous attirer. C'est du bon.
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Re: Projet Athéna
Jeu 22 Sep 2011 - 0:46
Le truc, c'est que j'écris au feeling, comme si je me racontais l'histoire dans la tête. J'écris comme je parle, et de plus, j'aime garder le brut de pomme d'une histoire, mais je ferais attention à l'avenir. Je ne toucherais pas le début pour garder une trace de la progression qui résultera de cette écriture.
Après le manque de détails est certes frustrant mais je l'exploite pour deux raisons :
- un traumatisme de jeunesse : Après avoir lu Zola et Balzac, les détails d'une description me sont vraiment devenue insupportable xD
- et plus sérieusement, je souhaite laisser au maximum le lecteur créer sa propre image de la scène, car d'expérience, je me suis retrouver vite dessus, quand je m'imaginais un bâtiment succinctement décrit dans un dialogue et puis plus tard le héros quand il arrive, une description détaillé, et là, je me rend compte que tout est différent. Je décris surtout les équipements car cela me permet d'introduire des détailles technologiques important notamment lorsque "les militaires" arriveront sur l'autre planète et surtout avec ce qui s'appellera les Trois Suprêmes.
Bon je vais aussi faire un petit point sur les parias : Les parias sont des hommes (et des femmes) qui vivent en petite communauté, et qui refuse catégoriquement le système des zones. Car les zones sont "gouvernées" par des entreprises, les gouvernements tels que nous les connaissons ont été complètement balayé par les firmes multinationales, j'imagine donc une société extrême mais dont la nôtre n'est pas très loin. Comme l'homme est un être inconstant, j'imagine un groupe "réactionnaire". Voici l'origine des parias.
D'abords des sortes de baba-cool à la surface, lorsque la température est devenue insoutenable, ils se sont retirés dans les tunnels. Mais les firmes en ont profité pour raffermir leurs pouvoirs, car propriétaires des tunnels. Donc les parias sont devenue une sorte de peuple à part, le terme "parias" et "civilisé" sont des termes utilisé par ceux qui vivent dans les zones, c'est une sorte de considérations et de "complexe de supériorité". Du point de vue des "parias", ils utilisent les termes de "zonard" (ou "esclave") et d'"homme libre".
Après vous pourrez me reprocher ces points de vues extrêmes, mais c'est basé sur une petit réflexion que j'ai sur la société actuelle (plutard la réflexion se basera sur la légitimité de la guerre... mais on y est pas encore). Vous me direz aussi qu'en exposant principalement le point de vue des zones, je prend partie pour les entreprises, FAUX, je ne suis ni pour ni contre. J'ai simplement adopter quelque chose qui est le plus proche de nous, car le système des parias est différents, c'est un peu la loi du plus fort, ou de la monarchie volontaire, et chaque système dépend de la communauté parias, en conclusion, je ne dit pas que c'est des sauvages, je dit simplement que c'est un système quasi-contraire à celui des zones. Et qu'ils ont certes le désavantage de la technologie et qu'ils s'équipent en volant les convoies inter-zones.
Voilà je pense avoir fait le tour.
Après le manque de détails est certes frustrant mais je l'exploite pour deux raisons :
- un traumatisme de jeunesse : Après avoir lu Zola et Balzac, les détails d'une description me sont vraiment devenue insupportable xD
- et plus sérieusement, je souhaite laisser au maximum le lecteur créer sa propre image de la scène, car d'expérience, je me suis retrouver vite dessus, quand je m'imaginais un bâtiment succinctement décrit dans un dialogue et puis plus tard le héros quand il arrive, une description détaillé, et là, je me rend compte que tout est différent. Je décris surtout les équipements car cela me permet d'introduire des détailles technologiques important notamment lorsque "les militaires" arriveront sur l'autre planète et surtout avec ce qui s'appellera les Trois Suprêmes.
Bon je vais aussi faire un petit point sur les parias : Les parias sont des hommes (et des femmes) qui vivent en petite communauté, et qui refuse catégoriquement le système des zones. Car les zones sont "gouvernées" par des entreprises, les gouvernements tels que nous les connaissons ont été complètement balayé par les firmes multinationales, j'imagine donc une société extrême mais dont la nôtre n'est pas très loin. Comme l'homme est un être inconstant, j'imagine un groupe "réactionnaire". Voici l'origine des parias.
D'abords des sortes de baba-cool à la surface, lorsque la température est devenue insoutenable, ils se sont retirés dans les tunnels. Mais les firmes en ont profité pour raffermir leurs pouvoirs, car propriétaires des tunnels. Donc les parias sont devenue une sorte de peuple à part, le terme "parias" et "civilisé" sont des termes utilisé par ceux qui vivent dans les zones, c'est une sorte de considérations et de "complexe de supériorité". Du point de vue des "parias", ils utilisent les termes de "zonard" (ou "esclave") et d'"homme libre".
Après vous pourrez me reprocher ces points de vues extrêmes, mais c'est basé sur une petit réflexion que j'ai sur la société actuelle (plutard la réflexion se basera sur la légitimité de la guerre... mais on y est pas encore). Vous me direz aussi qu'en exposant principalement le point de vue des zones, je prend partie pour les entreprises, FAUX, je ne suis ni pour ni contre. J'ai simplement adopter quelque chose qui est le plus proche de nous, car le système des parias est différents, c'est un peu la loi du plus fort, ou de la monarchie volontaire, et chaque système dépend de la communauté parias, en conclusion, je ne dit pas que c'est des sauvages, je dit simplement que c'est un système quasi-contraire à celui des zones. Et qu'ils ont certes le désavantage de la technologie et qu'ils s'équipent en volant les convoies inter-zones.
Voilà je pense avoir fait le tour.
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Re: Projet Athéna
Jeu 22 Sep 2011 - 19:44
Je n'ai jamais dit ça^^ Et je comprend tout à fait ton raisonnement. De plus, le fait que progressivement, les entreprises gagnent en puissance et pouvoir est tout à fait réaliste puisque c'est déjà le cas. Et on peut très bien supposer que dans un futur proche, certaines entreprises crée ou rachète des états.Vous me direz aussi qu'en exposant principalement le point de vue des zones, je prend partie pour les entreprises,
Ok, je vois mieux comment tout ça s'organise . Et je comprends bien le point de vue des deux côtés.Bon je vais aussi faire un petit point sur les parias
Pour les conseils, tu fait comme tu veux, c'est ton récit^^
C'est surtout que je suis plutôt du genre perfectionniste, et il m'arrive souvent de peaufiner au maximum (voir à l'extrême maximum^^) quelque chose avant de continuer plus loin.
Et c'est que je voyais déjà ton histoire compilée en un roman (pas forcément sur papier) mais en tout cas, en .txt ou autre, et pas en plusieurs posts.
Je me doutais quand même que tu écrivais directement sur inspiration, et je t'envie d'une certaine façon, car moi, j'ai justement du mal à enchainer comme ça sans revenir sur des détails et encore des détails^^
Bon courage pour la suite que l'on attend avec impatience
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Re: Projet Athéna
Dim 25 Sep 2011 - 21:56
Vous me direz aussi qu'en exposant principalement le point de vue des zones, je prend partie pour les entreprises,
Je n'ai jamais dit ça^^ Et je comprend tout à fait ton raisonnement. De plus, le fait que progressivement, les entreprises gagnent en puissance et pouvoir est tout à fait réaliste puisque c'est déjà le cas. Et on peut très bien supposer que dans un futur proche, certaines entreprises crée ou rachète des états.
Je prévenais juste la remarque, c'est pour éviter que la remarque soit faite, car la prise de position peut être interpréter pour une prise de position politique.
Pour ma façon de reprendre avec l'inspiration, j'ai une méthode assez simple, je me pose certaines règles aux débuts de l'écrit, juste les thèmes et les sujets à traités et après j'essaye de lier le plus possible les thèmes entre eux. De plus, écrire avec un peu de musique dans les oreilles peut aider grandement, notamment si tu écoute le même style que lorsque tu écrivais le passage précédent, car la musique influe un peu sur le rythme de l'auditeur.
EDIT : Voici la fin du chapitre 1 :
------------------------------------------
Les billes d'acier s'envolèrent à une vitesse ahurissante, certaines d'entre elles servaient à évacuer les surcharges de l'arme, celles-ci étaient suivis d'un éclair bleuté. Les billes soulevaient d'important nuage de poussière à chaque impact. Des cris de douleur s'élevèrent dans l'embranchement. Johan avec une grimace se leva, tant bien que mal, et aida le lieutenant à se mettre debout. Il glissa le bras du lieutenant par dessus son épaule souffrante, puis les deux hommes se retirèrent en boitillant vers le tunnel. Le capitaine se rapprocha d'eux en gardant le bouclier bien haut pour les protéger.
Trois motos arrivaient à leur rencontre, et s'arrêtèrent à coté d'eux, Stella maintenait une pression constante sur l'entrée du tunnel, empêchant les parias d'approcher. Elle fit un signe rapide, ordonnant d’emmener les deux hommes à l’abri, le troisième pilote resta avec elle, pour pouvoir l'extraire à son tour lorsque ses deux camarades auraient pris assez d'avance. Les commandos firent asseoir lentement les deux hommes, puis enfourchèrent les motos, une fois les blessés bien accrocher. Ils démarrèrent dans un bruissement de pneu, et firent volte-face avec les motos. Johan poussa un gémissement de douleur. Les deux motos s'éloignèrent à toute allure. Johan sombra dans l'inconscience, au moment où les tirs s’arrêtèrent.
Le sol était froid, du métal... Johan ouvrit un œil avec difficulté, un sursaut du sol réveilla toutes ses liaisons internes et fractures. Quelqu'un s'agenouilla à coté de lui, puis le visage d'un ange apparu dans son champ de vision. Non, ce n'était pas un ange, pas dans cette armure d'un noir profond et pleine de sang. Le visage lui sourie :
« Vous êtes à l'abri dans le transporteur, Commandant. Tout, c'est bien passé. Vous êtes vivant, et la plupart de vos hommes ont été évacué avec les motos... Ils ne reste que vous et le lieutenant du convoie de départ, vous êtes tous les deux trop esquinté pour vous évacuer, nous avons pris un risque la première fois...
- Qui … ?
- Vous m'avez oublié ? Vous avez pourtant mon portrait avec mon contact...
- Je suis désolé... C'est que...
- Ne vous excusez pas, reposez-vous, les équipes médicales vous prendront en charge, une fois arriver.
- Combien de temps...
- Je vous demande pardon ?
- Suis-je resté inconscient...
- Un jour, nous allons arrivé dans deux ou trois heures, s'il n'y a pas d'imprévu. »
Johan se rendormit malgré son corps douloureux. Le convoi progressa sans encombrement jusqu'à la zone de Paris, escorté par l'escouade. Le Capitaine Bellifort resta dans le transporteur pour veiller sur les blessés, et transmettant les données aux QG. Les équipes médicales préparaient déjà le nécessaire pour les deux opérations d'urgence à venir. De l'autre coté du canal les médecins étaient perplexes, l'état du commandant les surprenait, nul homme pouvait survivre à de tels hémorragies internes et à autant de fractures, mais pourtant il survivait et son état était stable et même se rétablissait de lui-même, lentement.
--------------------------------------------
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Re: Projet Athéna
Jeu 29 Sep 2011 - 23:05
J'en déduit que le lieutenant est mourru^^.
Sinon, c'est pas mal. Hâte voir la suite
Sinon, c'est pas mal. Hâte voir la suite
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Re: Projet Athéna
Jeu 29 Sep 2011 - 23:15
Pas encore, il est pas encore mourru le lieutenant, il est juste en état critique.
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Re: Projet Athéna
Dim 2 Oct 2011 - 21:50
Bon début du chapitre 2 : J'y aborde à le thème de la religion dans un monde dévasté ^^
--------------------------------------------------------------------------------------
Chapitre 2 : La zone Parisien et nouveau prototype
Johan se réveilla dans une chambre du centre médical d'Armsystem. Un médecin était en train d'examiner les courbes sur les différents oscilloscopes... Ils fronçait les sourcils, comme devant un problème insoluble. Il murmura :
« Comment diable est-ce possible... Il devrait être déjà froid bien avant son arrivé... L'opération a quasiment été inutile...
- Je vous demande pardon, Docteur ? Johan avait entendu, et la tête que faisait le médecin l’inquiétait encore un peu plus...
- Ha ! Vous êtes réveillé, Commandant Mohr. Je vous annonces de suite la bonne nouvelle, vous êtes rétablie et vous allez pouvoir sortir quand vous le voudrez... La mauvaise, si c'en est une, c'est que votre guérison est totalement inexpliquée.
- Que vous voulez-vous dire ?
- Que vos blessures se sont soignées d'elle-même malgré votre état critique, vous devriez être mort bien avant votre arrivée en ces murs, Commandant Mohr, à croire qu'il y ait encore un dieu qui veille sur nous...
- Si un tel dieu existait nous ne serions pas aux portes de l'Enfer, Docteur. S'il existe, il a depuis abandonner l'humanité à son sort funeste.
- Si vous le dite, Commandant... De plus nous avons fait une analyse pour comprendre votre mystérieux rétablissement... Et je vous préviens que quelqu'un tiens à éviter que l'on découvre quelque chose car tout vos échantillons ont disparu...
- Pourquoi mes échantillons cellulaires...
- Si vous le permettez Commandant, je peux vous prélever une nouvelle échantillon, et je l'analyserai moi-même... officieusement, bien entendu, et je vous ferez parvenir mes résultats lorsque j'aurai terminé l'analyse de chaque parcelle de votre code génétique.
- Je vous en prie, Docteur, je suis assez curieux des résultats.
- Très bien, fermez les yeux... Je rajouterai mon contact dans le répertoire de votre récepteur. Bonne nuit, Commandant.
Une seringue perça la peau au niveaux du bras, puis le liquide injecté commença à se diffuser rapidement dans le corps. Johan s'endormit rapidement.
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Chapitre 2 : La zone Parisien et nouveau prototype
Johan se réveilla dans une chambre du centre médical d'Armsystem. Un médecin était en train d'examiner les courbes sur les différents oscilloscopes... Ils fronçait les sourcils, comme devant un problème insoluble. Il murmura :
« Comment diable est-ce possible... Il devrait être déjà froid bien avant son arrivé... L'opération a quasiment été inutile...
- Je vous demande pardon, Docteur ? Johan avait entendu, et la tête que faisait le médecin l’inquiétait encore un peu plus...
- Ha ! Vous êtes réveillé, Commandant Mohr. Je vous annonces de suite la bonne nouvelle, vous êtes rétablie et vous allez pouvoir sortir quand vous le voudrez... La mauvaise, si c'en est une, c'est que votre guérison est totalement inexpliquée.
- Que vous voulez-vous dire ?
- Que vos blessures se sont soignées d'elle-même malgré votre état critique, vous devriez être mort bien avant votre arrivée en ces murs, Commandant Mohr, à croire qu'il y ait encore un dieu qui veille sur nous...
- Si un tel dieu existait nous ne serions pas aux portes de l'Enfer, Docteur. S'il existe, il a depuis abandonner l'humanité à son sort funeste.
- Si vous le dite, Commandant... De plus nous avons fait une analyse pour comprendre votre mystérieux rétablissement... Et je vous préviens que quelqu'un tiens à éviter que l'on découvre quelque chose car tout vos échantillons ont disparu...
- Pourquoi mes échantillons cellulaires...
- Si vous le permettez Commandant, je peux vous prélever une nouvelle échantillon, et je l'analyserai moi-même... officieusement, bien entendu, et je vous ferez parvenir mes résultats lorsque j'aurai terminé l'analyse de chaque parcelle de votre code génétique.
- Je vous en prie, Docteur, je suis assez curieux des résultats.
- Très bien, fermez les yeux... Je rajouterai mon contact dans le répertoire de votre récepteur. Bonne nuit, Commandant.
Une seringue perça la peau au niveaux du bras, puis le liquide injecté commença à se diffuser rapidement dans le corps. Johan s'endormit rapidement.
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Re: Projet Athéna
Jeu 10 Nov 2011 - 19:07
Alors mon petit Balba', pas de nouvelles lignes en vue à nous rédiger ?^^
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Re: Projet Athéna
Sam 12 Nov 2011 - 17:22
Si mais je fatigue en ce moment, pas trop le temps. Mais j'ai quelques lignes (un paragraphe) où Johan Mohr est sortie de l'hosto et c'est une journée de repos, dû au fait que le directeur est très occupé et qu'il n'a pas le temps d'écouter son rapport.
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Re: Projet Athéna
Dim 20 Nov 2011 - 22:23
Bon allez hop la suite ^^ :
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Johan ajusta sa veste devant la glace, il était rentrée chez lui peut après être sortie du centre médical, le médecin se révélait être un certain Sébastien Demitrov, un jeune arrivant de la zone moscovite. Il était arrivé quelques semaines avant la mission de Johan. Le Commandant avait décidé de prendre une journée de repos avant de faire son rapport au Directeur Havre. Habillé en civil, il allait faire une promenade dans la zone parisienne. Son appartement bien rangés était équipé de la plupart des systèmes modernes, aussi bien de sécurité que multimédia. Il s'approcha de la porte d'entrée et une douce voie féminine lui dit à sa sortie :
« Au revoir, Commandant Mohr, je vous souhaite une agréable promenade ! »
La porte se refermât automatiquement et se verrouilla. Le Commandant portait un jean noir avec une veste en cuir assortie par dessus une chemise rentrée dans le jean, elle était blanche. A sa ceinture de cuir, son récepteur pendait dans son étui en cuir. La veste avait été modifié au besoin de Johan, la poche intérieur avait été remplacé par un étui de 9mm pouvant en prime accueillir deux chargeurs supplémentaires. Sous le colle de sa chemise était épingler l'écusson des troupes d'Armsystem, pour au cas où prouver son grade si le besoin s'en faisait sentir et sur le nez, ses lunettes tactiques civiles, ces lunettes étaient comparables qu'il avait porté sur le champ de bataille mais celle-ci étaient adaptés pour une couverture civile.
Il descendit les escaliers le séparant du tunnel qui servait de rue. Les lampadaires brillaient en permanence, éclairant des routes bitumées, ainsi que les trottoirs, la plafond était assez haut, tout en béton. Des passants baissaient la tête, peu enthousiaste. Le désespoir abattait la joie de tous, quel-qu’il soit. Johan remonta la rue vers le secteur inférieur, cette zone était surnommé la ville basse. Cette partie de Paris était plutôt mal famée et contrairement aux quartiers supérieur où c'était des forces de polices classiques qui faisaient régner la loi, dans le quartier inférieur, c'était les forces armées d'Armsystem qui patrouillaient. Le commandant activa ces lunettes pour se renseigner sur la situation actuel du quartier. Les données démographiques étaient inquiétantes, la moyenne de suicide était de trois personnes par semaine et le nombre de meurtre y était comparable. Il y avait eu une forte hausse de natalité dernièrement, dû à l'échéance de l'explosion, l'instinct de survie de l'espèce commençait à se répandre au sein des foyers ou alors c'était simplement la recherche de la consolation dans des menus plaisirs. Il continua de lire les quels informations utiles pour un visiteur, concernant plutôt les établissements du quartier, Il y avait apparemment un pub à peu près respectable et tranquille comparer aux autres où des bagarres éclataient régulièrement. Lorsque le Commandant passa la porte automatique qui séparer les quartiers pour déboucher sur un point de contrôle, un soldat d'Armsystem, jeune, une nouvelle recrue certainement, s'approcha de lui :
« Monsieur, Forces de sécurité, vos papiers, je vous prie.
- Hum... Johan souleva son colle de chemise, un gradé se précipita à coté de la recrue qui ne semblait pas comprendre à qui elle avait à faire. Le gradé parla dès qu'il fut à une distance raisonnable.
- Excusez-le, Mon Commandant, il ne connaît pas encore la totalité des insignes de couvertures...
- Ce n'est pas grave, de toute façon, je n'ai pris cet insigne que pour pouvoir intervenir au cas où...
- Merci à vous, Monsieur. Quant à toi, Soldat, estime toi heureux que le Commandant soit clément.
- Je vous prie de m'excuser, mon Commandant.
- Ce n'est pas nécessaire de demander des excuses, tant que vous faites votre travail assidûment. »
Le gradé encaissa le reproche silencieux qui lui était destiné, lui disant de ne pas réprimander quelqu'un pour des bagatelles. Il fit signe d'ouvrir la porte, il se retourna et voulu demander si le Commandant souhaitait une escorte, mais le Commandant lui passa devant sans un regard alors que le gradé ouvrait la bouche. Le message était claire, Johan n'avait clairement pas apprécié le management de l'officier. Johan enregistra les noms des deux interlocuteurs qu'il avait récupérer dans la base de données d'Armsystem sur un recoin du dossier de ses lunttes, tout fonctionnaient grâce à un implant neuronal qui permettait de gérer les différents accessoires informatiques directement à partir du cerveaux, le pointage des données se faisait grâce à la direction du regard mais toutes les saisies de textes passaient par la puce neuronale.
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Johan ajusta sa veste devant la glace, il était rentrée chez lui peut après être sortie du centre médical, le médecin se révélait être un certain Sébastien Demitrov, un jeune arrivant de la zone moscovite. Il était arrivé quelques semaines avant la mission de Johan. Le Commandant avait décidé de prendre une journée de repos avant de faire son rapport au Directeur Havre. Habillé en civil, il allait faire une promenade dans la zone parisienne. Son appartement bien rangés était équipé de la plupart des systèmes modernes, aussi bien de sécurité que multimédia. Il s'approcha de la porte d'entrée et une douce voie féminine lui dit à sa sortie :
« Au revoir, Commandant Mohr, je vous souhaite une agréable promenade ! »
La porte se refermât automatiquement et se verrouilla. Le Commandant portait un jean noir avec une veste en cuir assortie par dessus une chemise rentrée dans le jean, elle était blanche. A sa ceinture de cuir, son récepteur pendait dans son étui en cuir. La veste avait été modifié au besoin de Johan, la poche intérieur avait été remplacé par un étui de 9mm pouvant en prime accueillir deux chargeurs supplémentaires. Sous le colle de sa chemise était épingler l'écusson des troupes d'Armsystem, pour au cas où prouver son grade si le besoin s'en faisait sentir et sur le nez, ses lunettes tactiques civiles, ces lunettes étaient comparables qu'il avait porté sur le champ de bataille mais celle-ci étaient adaptés pour une couverture civile.
Il descendit les escaliers le séparant du tunnel qui servait de rue. Les lampadaires brillaient en permanence, éclairant des routes bitumées, ainsi que les trottoirs, la plafond était assez haut, tout en béton. Des passants baissaient la tête, peu enthousiaste. Le désespoir abattait la joie de tous, quel-qu’il soit. Johan remonta la rue vers le secteur inférieur, cette zone était surnommé la ville basse. Cette partie de Paris était plutôt mal famée et contrairement aux quartiers supérieur où c'était des forces de polices classiques qui faisaient régner la loi, dans le quartier inférieur, c'était les forces armées d'Armsystem qui patrouillaient. Le commandant activa ces lunettes pour se renseigner sur la situation actuel du quartier. Les données démographiques étaient inquiétantes, la moyenne de suicide était de trois personnes par semaine et le nombre de meurtre y était comparable. Il y avait eu une forte hausse de natalité dernièrement, dû à l'échéance de l'explosion, l'instinct de survie de l'espèce commençait à se répandre au sein des foyers ou alors c'était simplement la recherche de la consolation dans des menus plaisirs. Il continua de lire les quels informations utiles pour un visiteur, concernant plutôt les établissements du quartier, Il y avait apparemment un pub à peu près respectable et tranquille comparer aux autres où des bagarres éclataient régulièrement. Lorsque le Commandant passa la porte automatique qui séparer les quartiers pour déboucher sur un point de contrôle, un soldat d'Armsystem, jeune, une nouvelle recrue certainement, s'approcha de lui :
« Monsieur, Forces de sécurité, vos papiers, je vous prie.
- Hum... Johan souleva son colle de chemise, un gradé se précipita à coté de la recrue qui ne semblait pas comprendre à qui elle avait à faire. Le gradé parla dès qu'il fut à une distance raisonnable.
- Excusez-le, Mon Commandant, il ne connaît pas encore la totalité des insignes de couvertures...
- Ce n'est pas grave, de toute façon, je n'ai pris cet insigne que pour pouvoir intervenir au cas où...
- Merci à vous, Monsieur. Quant à toi, Soldat, estime toi heureux que le Commandant soit clément.
- Je vous prie de m'excuser, mon Commandant.
- Ce n'est pas nécessaire de demander des excuses, tant que vous faites votre travail assidûment. »
Le gradé encaissa le reproche silencieux qui lui était destiné, lui disant de ne pas réprimander quelqu'un pour des bagatelles. Il fit signe d'ouvrir la porte, il se retourna et voulu demander si le Commandant souhaitait une escorte, mais le Commandant lui passa devant sans un regard alors que le gradé ouvrait la bouche. Le message était claire, Johan n'avait clairement pas apprécié le management de l'officier. Johan enregistra les noms des deux interlocuteurs qu'il avait récupérer dans la base de données d'Armsystem sur un recoin du dossier de ses lunttes, tout fonctionnaient grâce à un implant neuronal qui permettait de gérer les différents accessoires informatiques directement à partir du cerveaux, le pointage des données se faisait grâce à la direction du regard mais toutes les saisies de textes passaient par la puce neuronale.
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- PharazonStaffeux retraité
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Localisation : Au Pays des Bisounours
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[Coco' ]
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Re: Projet Athéna
Sam 26 Nov 2011 - 12:36
(Comme toujours, plein de fautes partout, ah mon dieu ! et cette syntaxe. )
Sinon, comme toujours, c'est agréable à lire. Histoire bien mené pour l'instant, avec des phases d'actions plutôt violente, et des pauses dans le récit qui permettent au lecteur de souffler un peu (comme Johan, en définitive^^)
Allez, la suite, la suite
Sinon, comme toujours, c'est agréable à lire. Histoire bien mené pour l'instant, avec des phases d'actions plutôt violente, et des pauses dans le récit qui permettent au lecteur de souffler un peu (comme Johan, en définitive^^)
Allez, la suite, la suite
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